Une Aire DAutoroute En Pleine Nuit.
Je viens de finir une série de rendez vous du côté de Narbonne, même sil est déjà 20h et que jai 5 heures de route je préfère rentrer chez moi. Une fois que jai commencé à rouler sur lautoroute, je marrête dans une station service pour macheter un sandwich que je mange en conduisant. Mon but est darriver le plus tôt possible dans mon lit.
Vers minuit je marrête pour une dernière pose pipi même si je suis à un peu plus d1 heure de la maison. Je rentre dans la première aire de repos que je croise, je passe les quelques camions garés. Le parking des voitures est de part et dautre dun bâtiment gris assez long. Je me gare à côté de lentrée à 3 places de lunique autre véhicule arrêté. Je marche rapidement vers le côté des toilettes après avoir bu un peu deau à a fontaine.
Une fois à lintérieur javance dans un couloir jusquà ce quà gauche soit indiqué les femmes et à droite les hommes. Evidement je vais vers la droite mais je me demande où sont les propriétaires de la voiture car je nentends aucun bruit. Je vais directement vers les pissotières me soulager. Pendant que jurine il me semble entendre un râle, jarrête mon jet pour prêter loreille mais plus rien.
Pendant que je me lave les mains jai limpression dencore entendre du bruit et quand je coupe leau plus rien. Curieux mais surtout prêt à faire une plus longue pause si elle devient crapuleuse, je pars explorer les cabines. Toutes les portes sont fermés et les verrous sont sur le vert alors je quitte les toilettes.
Quand je me retrouve devant la porte de ceux des femmes, je ne peux mempêcher de me pencher pour voir ou entendre quelquun rien, non plus. Jexplore rapidement les cabines elles sont toutes aussi sur le vert. Même si je ne vois personnes la situation commence à faire frétiller lintérieur de mon caleçon.
Du coup je décide de retourner chez les hommes. Quand je rentre dans les toilettes il me semble une nouvelle fois entendre du bruit, jessaye dêtre le plus silencieux possible mais les cabines semblent toutes inoccupées.
Avant de reprendre la route jallume une cigarette que je fume assis sur le capot de ma voiture pour me tenir chaud et surtout voir si quelquun sort de ce bâtiment. Je ne suis quà la moitié de ma clope quand jentends des bruits de talons qui se rapprochent. Ma première réaction est dêtre rassuré parce que javais bien entendu du bruit et ma deuxième est de regretter de navoir pas plus insisté à lintérieur.
Juste à lentrée de limmeuble, sous la lumière du réverbère, je vois une femme brune assez grande qui porte des lunettes de soleil malgré lheure. Elle est vêtue dune robe blanche assez courte, qui laisse apparaitre les habits noirs quelle porte en dessous. Au pied elle a une paire descarpins doù le bruit de tout à lheure. Dici je ne vois pas dans les détails mais elle très peu couverte malgré la fraicheur.
Elle a deux possibilités soit elle prend la direction de la pelouse est me contourne en passant derrière ma voiture soit elle emprunte le sentier et elle passe juste devant moi. Je suis heureux quand je la vois marché sur le sentier. Sa démarche est très sensuelle, je sens que ça remue de nouveaux dans mon boxer.
Plus elle avance plus je vois que sous sa courte robe presque transparente elle porte en fait une guêpière noire à la quelle des bas, noirs eux aussi, sont attachés. Entre les deux elle a soit une culotte noire elle aussi soit elle ne porte rien et à une sexe très fournis en poil.
Plus elle se rapproche plus je vois que ce ne sont pas des poils. Quand elle est à mon niveau je lui dis un chaleureux:
« Bonsoir »
Elle ny répond pas mais se tourne vers moi pour me sourire. Je sens quelle me fixe derrière ses lunettes de soleil. Mais elle ne sarrête pas est continue de marcher vers sa voiture.
Ma tête tourne en même temps quelle avance et je vois que sous sa robe blanche, que je bénis parce quelle me laisse tout voir, elle porte un string.
Quand je retourne ma tête vers cette très belle femme, elle est côté passager de sa voiture et ouvre la portière. Elle se penche bien en avant ce qui me laisse encore plus admirer son fessier même si la lumière léclaire beaucoup moins. Je ne sais pas trop comment laborder alors je continue à la fixer en espérant quelle me demande de la rejoindre.
Après un petit moment à se trémousser, elle sassoit sur le siège, toujours côté passager, maintenant je ne vois presque plus ce quelle fait. Je vois bien quelle gigote mais jai aucune idée de ce qui se passe. Je nose pas me rapprocher delle mais je me dis que la plus part de mes plans sur des aires de repos ont au moins démarré dans les chiottes.
Je me dirige donc vers le bâtiment pour aller dans les toilettes, je tourne régulièrement la tête pour essayer de lappeler du regard mais je ne vois pas son visage. Une fois devant la porte, je reste un moment debout sous le réverbère comme elle quelques minutes avant mais elle ne bouge pas sa voiture. Après une très longue hésitation je pose ma main sur ma bite qui est toujours raide, je secoue et la retire rapidement.
Je suis sûr quelle ma vu mais elle ne bouge pas alors je prends mon courage à demain et javance lentement vers elle. Plus je me rapproche et plus je vois quelle gigote, juste avant que jarrive devant sa portière elle simmobilise, elle porte toujours ses lunettes de soleil. Je ne sais pas trop comment laborder alors je le fais à lancienne.
Je sors une cigarette de mon paquet et je lui demande:
« Est ce que je peux vous demander du feu? »
Sans un mot elle me tend son briquet et me sourit. Jallume ma cigarette et en lui tend le briquet je rajoute:
« Jai beaucoup apprécier votre défilé de tout à lheure! »
Après avoir elle aussi allumer une clope elle me sourit à nouveau mais plus ouvertement mais elle ne me dit rien.
« Jaime les femmes comme vous qui sont fière de leur corps et le montre. »
Pendant que je parle je vois une de ses mains descendre sur sa cuisse et commencer à la caresser.
Alors que je décide de passer au tutoiement je rajoute:
« Tu nas vraiment pas froid aux yeux! »
Je vois son bras remonter et donc sa main aussi, je me penche un peu et je remarque quelle est sous sa robe. Je suis droit comme un piquet dans mon pantalon. Elle ne dit pas un mot mais continue ses mouvements. Jai limpression que mes mots lexcitent alors je continue:
« Jai adoré voir ton superbe cul se balancer tout à lheure! »
Elle arrête tous ses mouvements, merde jai du dire une connerie! Elle jeta sa cigarette et referme sa vitre tout doucement en me fixant du regard à travers ses verres teintés. Quand je pense quelle va se décaler de siège et partir, elle ouvre sa portière. Elle se soulève mais ne sort pas, elle change de position. Elle met ses genoux sur son siège en se tournant vers le volant et se penche en avant.
Une fois bien en position et sa croupe juste devant mes yeux avec uniquement sa robe qui me sépare, je pose ma main droite à lintérieur de sa cuisse gauche. Je la remonte tout doucement entre ses jambes et quand elle se pose sur son périnée je la masse lentement contre sa ficelle noire. Puis je commence à malaxer sa fesse droite.
Son corps continue de sexciter et encore plus quand je lui avoue:
« Ton cul me rend fou! »
Elle ne me dit toujours rien mais relève complément sa robe pour me laisser le champs libre. Je nhésite pas un instant et maintenant je la tripote à deux mains. Au bout dun moment je lui demande:
« Tu aimes quand je te caresse comme ça? »
Comme depuis le début elle ne me répond pas mais ondule encore plus son bassin pour augmenter le rythme de mes mains.
Je lui dit quelle nest pas du tout farouche en même temps que mon pouce droit se rapproche de son oeillet.
Quand je commence à le malaxer avec mon doigt elle se met à gémir. Pour que nous profitions mieux jécarte sa petite ficelle et je pose mon pouce directement sur sa rosette. Elle a un tout petit bourrelet que je mapplique à ouvrir pour augmenter ses gémissements. Je trouve quelle est déjà bien ouverte la salope, ses entrailles cèdent et accueillent me pouce, elle lâche un petit cri.
Elle me laisse la sodomiser avec mon doigts pendant seulement quelques instants avant de savancer pour me faire sortir. Je ne pense pas quelle est à se plaindre de mon intrusion vu ses manifestation de plaisir, elle revient sassoir du côté passage mais avec les jambes hors de la portière. Immédiatement elle ouvre ma braguette et glisse sa main dans mon pantalon.
Elle sent immédiatement à quel point je suis excité et a un grand sourire. Elle commence à me caresser à travers le boxer, quand elle découvre que mon gland est hors de lélastique elle le triture immédiatement à deux doigts. Alors quelle me malaxe le gland à laide de ce qui a coulé de mon méat elle plaque sa paume sur ma tige et me la presse avec.
Rapidement elle baisse mon boxer sous mes couilles et sort aussi ma queue raide de ma braguette. Elle la caresse en posant ses deux paumes de chaque côté, puis elle commence à longer ma bite dabord vers le haut puis vers le bas. Elle recommence une bonne quinzaine de fois avant de désolidariser ses mains pour en poser une sur mes couilles et empoigner la base de ma tige de lautre.
Elle fait monter et descendre ses doigts en sattardant sur mon frein et mon gland. Elle y met vraiment du coeur par contre son autre main ne bouge pas trop. Dun coup elle arrête tout pour ouvrir ma ceinture et mon pantalon avant de les faire tomber à terre. Mon boxer suit le même chemin pour quelle puisse continuer ses caresses à son aise.
Elle admire un moment ma queue et mes couilles rasées puis elle la tâte comme pour vérifier si je suis bien dure, si cest bien ça elle doit être content parce que je suis raide comme un piquet. Une fois rassurer, elle remet une main sur mes couilles et lautre à la base de ma tige.
Mais au lieu de reprendre ses caresses elle ouvre la bouche et me lèche le gland du bout de la langue. Elle le gobe rapidement et mavale aussi tôt, elle fait aller et venir ses lèvres le long de ma bite très lentement. Pendant ce temps sa langue caresse mes veines, mon frein ou mon gland alors que mes couilles sont cajolés par son autre main.
Elle plaque ses lèvres autour de mon frein et se met à aspirer délicatement ma tige alors que sa langue danse avec mon gland. Quand elle relâche la pression je lui demande:
« Tu aimes ma queue? »
Pour me répondre elle avale entièrement ma bite jusquau fond de sa gorge et commence un va et vient de plus en plus rapide et virulent.
Je latt par la tête et limmobilise pour donner moi même maintenant le rythme de ses lèvres autour de mon sexe. Je démarre doucement mais jaccélère assez rapidement ensuite je me calme un peu pour reprendre de plus belles
Je baise la bouche de cette inconnue pendant un bon quart dheure quand elle pose ses mains sur mes fesses et pousse pour menfoncer entièrement en elle.
Mon gland est dans sa gorge et mes couilles contre son menton, elle tire la langue pour titiller mes couilles. Elle me maintient encore un moment comme ça avant de me recracher totalement. Ma queue est encore plus grande et raide et complètement recouvert de sa salive. Jadmire ma tige et sa bouche avant de lui dire:
« Tu suces vraiment bien! Je ne sais pas si c'est ta bouche ou ton cul qui mexcite le plus! »
Encore une fois elle ne dit pas un mot mais me fait reculer.
Elle se lève, ferme sa voiture après avoir pris un petit sac, je relève mon pantalon et ferme le bouton. Elle plonge sa main dans ma braguette et empoigne mon sexe pour nous diriger vers le bâtiment. Jai limpression que sa démarche et encore plus provocante mais le fait quelle continue de me triturer la bite du bout des doigts doit y être pour beaucoup. Avec sa main de libre, elle soulève sa jupe pour me faire bien admirer comment son cul dandine.
Elle rentre dans le couloir et une fois au fond elle tourne direction les toilettes des femmes. Une fois arrivé près dun coin avec un fauteuil et des chaises (certes de mauvaise qualité), elle lâche ma queue se retourne vers moi et jentends pour la première fois le son de sa voix qui me demande:
« Ici? »
Assez étonné de lentendre si peu je lui que si cest bien pour elle cest parfait pour moi.
Elle me sourit puis commence à me déboutonner la chemise, immédiatement jouvre mon pantalon que je tenais jusquà présent pour marcher le plus normalement possible. Ensuite je pose mes mains sur sa robe pour moi aussi goûter à son corps mais elle att ma main et marrête. Une fois que ma chemise est elle aussi au sol, ma belle inconnue se met à tourner autour de moi.
Ses mains meffleurent, son corps frôle le mien, ses doigts deviennent de plus en plus direct. Elle se frotte à moi maintenant, je colle mon corps au sien mais trop rapidement elle se dégage. Puis elle revient devant moi, se retourne et remonte sa jupe pour caler ma bite entre ses fesses, contre son string. Puis elle commence à onduler lentement, ma queue reprend toute sa vigueur.
Mais elle me quitte rapidement pour aller fouiller dans son sac, elle en sort un gode noir, lui aussi. Après les couilles il y a une ventouse quelle humidifie avant de coller lobjet contre le mur. Elle fait tomber sa robe le long de son corps puis sen dégage. Maintenant elle est uniquement vêtue dune guêpière, un string, des bas et ses talons hauts. Elle se met à caresser la bite en plastique et même à la sucer.
Je nen reviens pas sur quelle salope je suis tombé et je ne peux mempêcher de le lui dire. Elle en rougit et ça semble même encore plus lexciter car elle revient tourner autour de moi mais cette fois dans un corps à corps complet et torride. Puis elle att ma main et me tire vers lentrée du bâtiment, elle en guêpière et talons et moi uniquement avec mes chaussures. Elle semble prendre un plaisir fou à sexhiber ainsi, dommage quil y est personnes.
Quand elle marche je ne peux mempêcher de fixer son cul et je lui dit que jai très envie de la prendre par derrière, je ne sais pas pourquoi je lui dit même que je suis sûr quelle adore ça. Elle se retourne vers moi et me sourit dun air malicieux. Je ne sais pas comment cest venu mais je lui dit dun ton autoritaire:
« Enlève ton string! »
Elle met trop de temps à réagir alors je me place derrière elle, je magenouille et je lui enlève moi même, tout doucement pour bien lui caresser lintérieur des jambes.
Elle nest pas aussi nue que moi mais cest un bon début surtout que ses mains se posent sur ses fesses quelle écarte grandement juste avant de se pencher un peu. Je ne peux résister à lappel et je plonge ma langue contre son oeillet et que lèche à grands coups de langue. Une fois que je sens son petit trou assez ouvert jy introduis ma langue, elle gémit encore plus fort.
Au bout de quelques minutes, elle marrête et me fait me relever. Dans la lumière nous voyons tous les deux un filet de pré-sperme couler de mon méat. Immédiatement elle sagenouille et le lèche puis elle pose sa langue sur mon gland quelle suce. Enfin elle avale complètement mon sexe jusquà ce que mon gland soit à lentrée de sa gorge. Puis elle me refait sortir tout doucement en plaquant sa langue sous ma queue.
Une fois quelle abandonne mon gland elle se relève rapidement et dans un grand sourire derrière ses lunettes elle att ma main. Contrairement à ce que je croyais nous retournons pas vers le bâtiment mais lentrée de lair de repos juste devant le parking des camions. Une fois arrêter sous un réverbère elle se retourne vers moi et remonte ma main vers son visage.
Elle met deux de mes doigts dans sa bouche, elle fait tourner sa langue autour et entre, elle les suce comme si cétait une petit bite. Quand elle recrache mes doigts recouvert de sa salive elle se retourne et se caresse avec entre les fesses pendant un bon moment. Elle se titille la rosette avec mes doigts, elle appuie plus sur le majeur pour le faire rentrer.
Une fois que ma première phalange est dans ses entrailles, elle le retire et le suce de nouveau mais de façon encore plus coquine avant de lenfoncer encore une fois dans son cul. Pendant quelle le fait aller et venir entre ses fesses je lui demande si elle a un préservatif. Alors que je continue tout seul le mouvement dans son cul elle sort dentre ses seins deux petits carrés.
Jouvre le premier, la capote que je déroule le long de ma bite, puis avec le deuxième, du gel, jenduis son petit trou puis mon gland et ce quil reste je le finis sur son cul. Je la fais se cambre un peu plus, elle pose ses mains sur ses fesses et les écartes le plus possible. Je colle mon gland contre la noix de lubrifiant et je létale en la caressant.
Elle se met elle même à onduler du bassin pour encore plus nous frotter lun contre lautre. Puis je cale bien mon gland contre son oeillet bien ouvert, je pousse tout doucement et je marrête une fois que le repli de mon champignon est passé. Je latt par la taille et je menfonce très lentement avec des petits vas et viens, ce qui la fait rapidement gémir.
Une fois que mes couilles sont contre elle et que jai complément rempli ses entrailles je reste immobile un moment. Puis je décule doucement jusquà ce que la naissance de mon gland tape lintérieur de sa rondelle. Je me replante en elle mais dans un rythme beaucoup plus rapide ce qui lui fait sortir un « Ooooohh » de plaisir.
Je la lime un moment puis je ressors complètement, je frotte de nouveau mon gland entre ses fesses, maintenant quelle est plus ouvert je rentre facilement en elle. Puis je mintroduis dun coup sec, elle se met à gémir de plus belle. Pour une salope comme elle, je suis étonné comme son canal est étroit alors jen profite un maximum en me retirant totalement pour encore mieux la reprendre.
A chaque fois que je possède à nouveau son cul, je la prends encore plus violemment elle semble apprécier sa autant que moi. Je la lime pendant un bon moment mais pas entièrement quand elle qui a été silencieuse toute la soirée se met à me dire:
« Cest bon! Continue! »
Elle a du mal à sexprimer mais ne peux pas se taire:
« Tape bien tes couilles contre mon cul »
Je la prends encore plus violemment alors quelle rajoute des « Défonces moi bien! » ou « Plus fort » et encore « Tape bien au fond »
Mes coups de reins sont tellement fort quelle se penche pour prendre appuie avec ses mains sur le col, ce qui la fait se cambrer encore plus. Je continue à la limer férocement pendant un moment et quand je me calme ses cris ne suivent pas le même chemin. Jécarte avec mes mains ses fesses pour admirer ma bite glisser entre ses fesses.
Alors que je continue à aller et venir tranquillement dans ses entrailles, une fois que je suis bien planté en elle, je sens tous ses muscles se contracter. Elle se met à hurler de plaisir, son cul se serre tellement que je narrive presque plus à bouger. Je sens mes veines se gonfler et mes couilles remonter, ma queue se contracte et je jouis moi aussi dans ma capote.
Je continue à la limer lentement mais rapidement elle me demande de déculer. Je me retire tout doucement jusquà ressortir mon gland, son trou se referme tout délicatement alors que mes mains écartent encore plus ses fesses. Une fois que le spectacle est terminé je laide à se relever. On remarque en même temps que la cabine dun camion est allumée alors on ramasse ses affaires et on retourne vers le bâtiment récupérer le reste.
Sur le chemin elle mavoue que cest la première fois quelle se fait sodomiser, même si jaurai préféré le savoir avant ça me fait frissonner. Sur le chemin je lui demande si elle était dans une cabine pendant que je pissais, elle me répond en franc:
« Oui »
Je la questionne sur ce quelle faisait et timidement elle mexplique.
« Javais collé un gode au mur et après mêtre défoncé la chatte je me le suis rentré dans le cul et cest là que tu es rentré.
Une fois que nous sommes un peu rhabillés nous fumons une clope sur le capot de ma voiture en silence. Ma main est sur sa cuisse pendant que ses ongles meffleurent le dos et le bras. A un moment elle pose sa main sur mon paquet qui a commencer à redurcir et me dit:
« Je suis contente que tu sois en forme parce que jai encore envie »
Jhésite à lui demander de retirer ses lunettes et son prénom mais jaime aussi le coté mystérieux et inconnue. Je remonte ma main vers son string, je passe un doigt dessous et je le rentre dans sa grotte en lui disant:
« Effectivement »
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